Une fois à la retraite, il peut être judicieux de revendre ses biens locatifs et ce pour plusieurs raisons :
Pour ces raisons, le viager libre bien que marginal encore dans les transactions en viager (10% du marché global), devrait se développer.
Pour le vendeur, c’est profiter de la sortie de son locataire « de longue durée » pour le mettre en vente en viager libre, lui permettant de percevoir un revenu régulier et à vie d’un appartement ou d’une résidence secondaire dont il n’a plus l’utilité.
Pour l’acquéreur, c’est acheté un bien immobilier qu’il occupera ou qu’il louera. Il paiera une partie du prix sous forme de bouquet, assorties de rentes révisables pour couvrir une partie de l’inflation. C’est un moyen alternatif au financement bancaire. Néanmoins, l’achat en viager libre est soumis à l’aléa de la longévité à la différence d’un prêt bancaire dont la durée est fixe.
En cas de défaut de paiement de la rente, le vendeur pourra faire jouer deux clauses prévues systématiquement au contrat de vente : le « privilège du vendeur » inscrit au registre des hypothèques associé à la clause résolutoire permettant de retrouver la pleine propriété du bien ; cette dernière permettant de le revendre. Ces dispositions nécessitant de saisir la justice, il peut être conseillé au vendeur de négocier auprès de l’acheteur la mise en place d’une garantie bancaire ou d’un séquestre pour couvrir d’éventuels défauts.
Dans le viager libre, les vendeurs seront dispensés de toutes les charges (occupation, gros travaux et gros entretien).
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